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Noir



26 épisodes | 2001 | Action, Anime, Aventure, Drame, Mystère | Réalisé par Koichi Mashimo


Paris. Une tueuse à gages très sexy, Mireille Bouquet, reçoit un mail d'une jeune Japonaise, Kirika Yuumura, lui proposant de faire un pélerinage dans le passé. En pièce jointe: un petit morceau de musique qui réveille en elle des souvenirs enfouis... Bien que Mireille trouve l'idée ridicule, elle part tout de même à sa rencontre mais se retrouve rapidement être la cible de malfaiteurs armés... Elle parvient à échapper à leurs griffes avec l'aide de la jeune inconnue.





DVDRIP | Mkv
Dual-audio : français, japonais | Sous-titres : français
170 Mo par épisode


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7 commentaires:

Anonyme a dit…

Je vous aime.
Voilà, c'est dit.

Anonyme a dit…

Cette série ma l'air pas mal merci beaucoup! Moi aussi je cherche un anime, enfin c'est un film d'animation "Macross Do you remember love?" Si par hasard vous pouvez le mettre en VOSTFR si possible? Merci en tous cas pour tous ce que vous faîtes partager^^

Meca a dit…

Que dire... une anime parfaite.
L'histoire se laisse regarder, s'écoulant comme un long fleuve tantôt tranquille, tantôt rapide avec sa dose quotidienne de mystères, de découvertes et de turbulences. Le tout accompagné d'une ost formidable et c'est peu dire.

Un ambiance qui réinventerait Paris (l’histoire se déroule en Europe) ainsi qu'un passé mêlé à une organisation qui semble tout manipuler du début, jusqu'au dénouement final.

Des perso fort intéressant, apportant tous une pièce au puzzle que suit le scénario.

Une perle dans le monde des animes.

Florent a dit…

Histoire de donner un point de vue autre, je vais me permettre de malmener un peu l'anime dont j'ai regardé les trois premiers épisodes.

Vu les commentaires précédents, l'anime plaît beaucoup... Ma critique ne se veut pas polémiste. Bravo déjà à Cinéma d'Asie et ses contributeurs pour leur travail. Je ne cherche pas à démolir, mais à renseigner des personnes qui comme moi pourraient se précipiter aveuglément et ensuite être déçues. N'hésitez pas à consulter d'autres critiques de confiance et à regarder la bande annonce.

Allons-y...

La série nous présente l'histoire pénible de deux jeunes filles fades qui se lient pour travailler ensemble. Mireille est tueuse professionnelle sous le pseudonyme NOIR. Elle balaie rapidement ses principes pour recueillir Kirika, une inconnue amnésique (profession courante dans les rôles de fiction) qui pourtant la connaît. NOIR fonctionnera dès lors en équipe, jusqu'au jour où Kirika retrouve la mémoire ; ce jour Mireille la tuera, elle lui a promis (ok, pense Kirika).
Les rassemblent des souvenirs dont nous ne savons rien (sans doute plus tard...) et une montre à gousset que les auteurs amalgament confusement avec une boite à musique.

Chacun des trois épisodes vus, suit relativement le même planning au rythme comateux.
a) Ballade dans la ville de Paris. Chaque plan montrant la Tour Eiffel ou l'Arc de Triomphe, les héroïnes en profitent par exemple pour acheter une baguette de pain en arborant un t-shirt tricolore.
b) Contrat. arrivé d'un mail fort détaillé avec identité, renseignements complets et photo de la cible et du client. Pas de cas de conscience, le client est une victime, et la cible est un salaud. Le métier de tueur à gages est un job que l'on pourra qualifier d'humanitaire, méthodes mises à part peut-être.
c) Repérage, souvenirs, indolence. Les repérages sont rapides (Mireille obtient les plans complets), les souvenirs sont rares ; que faire ensuite ? les propos entre les associés sont quasi inexistants : sans intériorité, elle n'ont rien de plus à se dire, sinon quelques bribes de monologues aberrants de nullité.
d) Action. Les tueuses ont pénétré la forteresse blindée où se cache le malfrat lors d'une providentielle ellipse temporelle, et le tuent à coup de pistolets (parfois silencieux, mais toujours sans le silencieux ?!?). Tout n'est pas si simple (quoique... ), car avant ou après cela, les gardes du corps surgissent, et une fusillade s'organise dans laquelle l'une des filles (plutôt Mireille) nous montre que sans son acolyte, elle serait déjà morte, alors que les deux tueuses sont sensées être les reines de la profession.
e) Souvenirs, complot, larmes. brainstorming : tout ne s'est pas passé aussi bien que prévu. Pourtant Mireille avait eu un mail avec des photos, et un plan. Mais sa victime l'attendait, préparée et armée jusqu'aux dents. C'est dire si il y a un pépin ; ce n'est décidément pas un métier si facile qu'elle semble le penser a priori. Un tueur normal aurait peut-être tué son acolyte mystérieux et renfermé, le prenant pour une taupe... hum, trop simple, c'est une histoire subtile. Kirika se plaint de n'éprouver aucune tristesse à la mort de ces innocents malfrats, puis pleure sur son indifférence, ce qui est, à n'en pas douter, de la quintessence de drame psychologique.

La musique entêtante est constituée de deux chansons et demi, hors génériques ;
- la mélodie de la montre à gousset musicale ;
- la mélodie avec arrangement rythmique, assez ridicule pour avoir un vrai effet comique, surtout qu'elle est placée dans le premier épisode sur des plans où la montre à gousset est ouverte, laissant le spectateur imaginer s'il le souhaite (oh oui !) une montre à gousset antique à musique électro.
- le thème lyrique baroque pour les combats, en plus d'être moche c'est un poncif épais.

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Florent a dit…

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...

Cette série est nulle car :
. La trame générale est inintéressante. On dit que trois épisodes sont nécessaires et suffisants pour juger si l'on va aimer ou non une série. C'est vu, et il m’indiffère complètement de savoir qui est Kirika, qui est Mireille et qu'est-ce que le complot dont elles semblent être les pions.
. Les scènes d'action sont bien trop inexistantes. Pour éviter (c'est le but apparemment) de faire "bourrin", il aurait été intéressant de développer le partie contrat et repérage du contexte, d'en faire quelque chose de crédible voir d'y mettre un véritable enjeu scénaristique. L'intrusion dans les bâtiments protégés de la cible (actions non presentées), c'est là aussi l'une des scènes qui pourraient remplacer avec profit les longueurs des épisodes, montrer un travail d'équipe et donner un sel supplémentaire à la série.
. Les personnages sont nuls et leur vie est plate. Mireille est sans épaisseur, presque froide, mais même pas finalement. On ne peut pas non plus croire en ses compétences de tueuse. Kiriku, elle, est juste à gifler : n'est pas Lain qui veut. Plutôt que de faire que Kiriku verse une larme avec régularité et peu de raison, j'aurai aimé voir des contrats un peu moins manichéens, des cas qui troublent un peu les deux associées, ou mieux, qui ne les perturbent pas mais dérangent le spectateur.
. Les auteurs montrent Paris de façon stéréotypée, je ne peux pas trop les en blâmer, ils montrent ce qu'ils en connaissent. Dommage que la japonaise du duo, Kiriku, n'ait pas de pensées propres, elle aurait commenté son séjour autrement qu'avec un t-shirt type "i ♥ france"
. De même qu'il aurait été plus sérieux de connaître les villes visitées, il aurait fallu se renseigner sur le fonctionnement des objets employés. Il n'y a pas la place dans une montre à gousset pour un mécanisme musical, ce n'est de toute façon pas sa fonction. Et un pistolet ne fait pas "pffit" sans silencieux (ce bruit de silencieux est déjà une convention de cinéma, car un pistolet avec silencieux non plus ne fait pas ce bruit dans la réalité).
. La musique : la musique.
. Le dessin, déjà vu, et en mieux fait. Le trait est raccord avec le scénario, reconnaissons cette cohérence artistique : plat, sans vie, ennuyeux.
. L'animation est très statique, aucune scène dynamique. Ah si, au premier épisode, le vague souvenir de trois secondes dans un combat au corps à corps, une pirouette et un coup de pied bien enchainés.

Somme toute...
...
à éviter

Meca a dit…

par trois épisodes, tu as sortis tout ça?! Et tu te permet de dire: "Cette série est nulle car:" avec trois épisodes... pas mal le don de voyance.

a) "les héroïnes en profitent par exemple pour acheter une baguette de pain en arborant un t-shirt tricolore."
En même temps, Mireille y vit depuis combien de temps? Si ce n'est toute ça vie? Et quel mal a porter un pull aux couleurs tricolore? A parce que c'est une anime asiatique ce serait stéréotype? A côté de la plaque.
b)"Pas de cas de conscience."
Le métier de tueur à gage serait bien compliqué si ce n'était pas le cas.
c)"les propos entre les associés sont quasi inexistants"
Tu as déjà parlé avec un amnésique sans souvenir, ni goût, ni opinion du monde?
d)"Mireille nous montre que sans son acolyte, elle serait déjà morte".
La théorie du: je me suis battu contre 10 gars, le 11èm m'as eu par derrière.

La musique: "La musique entêtante est constituée de deux chansons et demi"
l'ost possède plus de 30 morceaux... c'est sur qu'avec les trois premiers épisodes, t'as retenu que le chiant et répétitif... tu t'attendais à une mélodie différente à chaque ouverture?

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Meca a dit…

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"La trame générale est inintéressante. "
C'est ce qu'on appel un début dans une anime. Juste au cas où...

"Les scènes d'action sont bien trop inexistantes"
...quoi ça pète pas dans tous les sens? Normal vu les autres travaux de l’auteur, ça s'appelle un style. Pour info, il a bossé sur Requiem for phantom et Tsubasa. Et les studio ont fait Madlax, El Cazador de la Bruja et les /Hack comme quoi ils faut regarder l'étiquette avant de bouffer.
Après ta vision de mise en scénario est intéressant mais dans ce cas, tu exploses le budget, crée des faux raccord et d'autre truc mythique qu'il vaut mieux éviter.

"Les auteurs montrent Paris de façon stéréotypée"
Moi j'ai été sous le charme de sa vision de Paris. Elle est lumineuse, calme et bercée par la musique tout à fait occidentalisée avec l'accordéon. T'aurais préféré la vision des banlieues, la crasse et les embouteillages?

"De même qu'il aurait été plus sérieux de connaître les villes visitées, il aurait fallu se renseigner sur le fonctionnement des objets employés".
Sa connaissance des villes fait qu'on reconnaît au moins Paris! Même sans la Tour Eiffel!Pour les objets, j’attends ta révolution sur toute les animes rien que fantastique car la magie, on peut être sceptique. Tu parles pas des détails du P-99 qui va jusqu'au voyant à l'arrière de la culasse pour voir si il y a balle chargée! Ainsi que le mode automatique et ce genre de chose! NON, toi c'est le bruit du silencieux... Mais va te pendre!

"Le dessin, déjà vu, et en mieux fait (sans déconner, t'es sûr?). Le trait est raccord avec le scénario, reconnaissons cette cohérence artistique : plat, sans vie, ennuyeux."
Tu as déjà vu Sky Crowler? Là c'est des desseins plat, sans vie et ennuyeux! "Du déjà vu"... Combien d’animes existent au total?


En résumé, tu décris un livre en ayant vu le prologue, soit le plus gros défaut; tu ne dois lire que des biographies surtout pas de poésie ou de fantastique trop informel. Donc une description faussé par ta frustration personnel vu que tu n'as pas fini la série.
Ta description ne m'aurais pas dérangé si elle n'avait été que: j'ai pas été plus loin que les trois premiers épisode, ça m'ennuyait.
Cela aurait été correct au moins. Plus que ton lynchage sans avoir étudié le dossier.

Pour la musique, au lieu d'avoir que du japonais, nous avons du latin et de la musique n'ayant qu'archi peu de consonance asiatique. Ce qui est assez énorme et inhabituel pour le souligner. Le morceau "Canta Per Me" prouve le talent de la compositrice Yuki Kajiura qui a fait aussi Mai Hime. Tester aussi "Solitude by the window" et "Romance" pour les morceaux avec accordéon. Ils sont sublimes.

C'est certain que si on veut regarder cette anime, faut pas être excité comme une puce sur le canapé. Faut prendre le temps, se poser et comme je l'ai dit la première fois, laissez couler l'histoire sans attendre la révélation au début.

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